=http://www.le-commun.fr/index.php?page=micropolitiques-des-usagesUn usage peut-il devenir acteur à part entière de nos lieux de vie et d’activité, au même titre que peuvent l’être des bâtiments ou des aménagements ? Nous employons à dessein le terme d’usage et non d’usager. Les analystes sont trop souvent tentés de rabattre l’usage sur la seule subjectivité de l’usager et d’en faire, en quelque sorte, un simple dérivé. L’usage concrétiserait et matérialiserait l’intention de l’usager ou du collectif d’usagers, et se résumerait à cela. Nous pensons possible de questionner la présence et l’agir d’un usage sans partir, pour autant, en quête des individualités qui seraient supposées l’avoir initié ou formulé. Cette hypothèse ouvre deux perspectives (…)
Sur le même sujet
- Cocasseries
L’affaire Coq / Cock et la loi du genre - Le féminisme islamique et l’ambiguïté de l’engagement politique. « Le beau est affreux et l’affreux est beau »
- Comentario al texto de Cocco y Negri sobre el “quilombo argentino”
- La possibilité européenne (le monde, les multitudes et l’Europe)
- Consulter les œuvres de Arash Hanaei