La mesure du fantasme, par Capéran Pierre-Olivier
Partant de l’hypothèse que le cinéma donne sa mesure au fantasme en l’actualisant dans un temps et un espace cinématographiques, nous « opérons » le Decameron de Pasolini en relevant les effets de contamination de corps propres (individués, essentialisés) par des corps étrangers. En déplaçant l’opération sur la structure même du film, nous analysons la … Continuer la lecture de La mesure du fantasme →