ni ne mangez du porc devant les fleurs, de peur qu’elles ne prennent la lettre aux pieds, et, averties, ne la déchirent.»
Évangile selon Maqqueue 7.6
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Ceci n’est pas une bande dessinée.
Pas même un épisode de *Démoniak.
C’est l’Ombre portée d’un pacte. C’EST UN ACTE POLITIQUE.
Pendant qu’il est trop tard ou trop tôt pour la peau de
l’Épure poétique,
il faut crever l’accès de l’Art-genre pour faire couler
le Vin ivre du Livre nouveau.
Il faut combler la Soif de l’incroyant comme du savant,
de l’ignorant comme de l’insoumis ou du craignant-pieu.
Et, dans la lignée mythique, sur notre lancée hystérique, conserver non la lance et le feu, mais l’Idée de la lance et le Souvenir du feu, raides comme une poutre dans l’OEil de la raison.
Pour armer en secret la Fertile mémoire de l’Amour, pour faire mourrir sur les eaux la Bête à deux dos, pour faire courir sur la crète le Cheval à deux têtes.
Ils n’en reconnaissent que l’Ombre séthanique,
l’éteinte étoile attique et les prêtresses hollywoodiennes,
les mensonges dorés et les rizières platoniques,
les songes lourds, les signes-loups,
la Divine comédie du Veau doux et le Purgatoire du Singe Assassin.
LA FICTION DU RÉEL MATRICIEL DOIT ÊTRE TOUCHÉE DU DOIGT
EN CORPS ET EN CORPS, JUSQU’AU TERME DU DERNIER RAPPORT.
CAR L’ OBSCUR DE L’AMOUR EST AU COEUR DU POUVOIR DES LIVRES.
« Ne donnez pas ce qui est chié aux saints,
ni ne mangez du porc devant les fleurs, de peur qu’elles ne prennent la lettre aux pieds, et, averties, ne la déchirent.»
Évangile selon Maqqueue 7.6