Althusser and Machiavelli: Politics After the Critique of Marx, par Vatter Miguel
1. The Critique of Marxist Theory: Social Antagonism and the Autonomy of Politics There are two fundamental criticisms that have been repeatedly addressed to Marxist theory in the last century. This theory has been accused of lacking an adequate account of the state and of politics, due to its reliance on a flawed metaphor of … Continuer la lecture de Althusser and Machiavelli: Politics After the Critique of Marx →
Althusser et Machiavel : la politique après la critique de Marx, par Vatter Miguel
Après 1977, la pensée d’Althusser effectue un « tournant » en s’écartant du Marxisme-léninisme. Les écrits posthumes de cette période tardive constituent une source d’inspiration extrêmement riche pour une pensée post-marxiste. On peut y trouver une réfutation des erreurs du marxisme-léninisme qui selon Louis Althusser auraient deux racines : d’un coté la dévaluation et l’incompréhension … Continuer la lecture de Althusser et Machiavel : la politique après la critique de Marx →
La politique comme guerre : formule pour une démocratie radicale ?, par Vatter Miguel
Depuis le commencement, le libéralisme s’est pensé lui-même comme étant en guerre avec « la guerre ». La guerre étant considérée comme la pire menace pour la société civile dont le but essentiel est l’autonomie des individus. Le libéralisme identifie deux sources principales de la « guerre » : d’une part l’orthodoxie, d’autre part la … Continuer la lecture de La politique comme guerre : formule pour une démocratie radicale ? →
Politics as war : a formula for radical democracy ?, par Vatter Miguel
Version originale de art35, rub12 1. Introduction Since its inception, liberalism has thought of itself as being at war with “war.” It has understood “war” as the greatest threat to a civil society whose essential end is the autonomy of individuals, which in turn results in the development of “culture” and a “civilized world.” From … Continuer la lecture de Politics as war : a formula for radical democracy ? →