Cet article adopte le rythme des répertoires d’images et de sons qui accompagnent la réalisation d’un film consacré aux espaces publics dans un paysage d’après-guerre et postcolonial. À la recherche de conversations qui offrent des indices de l’habitation et la production d’espaces publics dans un quartier de cinémas, l’article examine le processus créatif qui se joue dans l’écriture de ces histoires calquées sur la manière même dont les villes s’imaginent, se perdent et se retrouvent, peut-être, dans une réflexion poétique.
This article moves through the tempo of visual and aural inventories that float in and out of the making of a film based project on public spheres within a post-war post-colonial landscape. Seeking a set of conversations which offer clues to the inhabitation and production of public spheres within the zone of cinemas, the article considers the creative process at play in the writing of these iterative histories of the very ways in which cities are imagined, lost and perhaps re-gained through poetic reflection.
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