Faire de la philosophie avec Paolo Virno, par Valensi Michel
Entretien avec Michel Valensi Michel Valensi : Depuis ton premier livre, Convention et matérialisme (non traduit en français) qui date de 1986, et même depuis tes premiers écrits plus politiques des années 1970, jusqu’à ce dernier livre qui paraît aujourd’hui en français sous le titre Et ainsi de suite. La régression à l’infini et comment l’interrompre, consacré … Continuer la lecture de Faire de la philosophie avec Paolo Virno →
« Enraciné dans, mais pas limité par » Les black artistes contemporains et l’évolution des conditions de la représentation, par Adusei-Poku Nana
Malaise dans l’authenticité – Écrire les histoires « africaines » et « moyen-orientales » de l’art moderniste, par Prita Meier Sandy
Abécédaire de la Crise, par multitudes
De quoi parlons-nous à travers les références actuellement omniprésentes à « la crise » ? Et surtout : de quoi ne parlons-nous pas quand nous parlons de « la crise » ? Multitudes a ouvert ses pages à des auteurs très divers pour esquisser quelques réponses, qui figurent ici sous la forme d’un abécédaire : une suite d’entrées plus ou moins brèves qui visent à prendre … Continuer la lecture de Abécédaire de la Crise →
7. Je te dis qu’il n’y a pas de provocateurs (je croyais avoir le dernier dans les bras…)!, par multitudes
À Propos de John Brown’s Body , par Bazin Philippe
À la suite de la lecture du livre de l’écrivain américain Russel Banks, Pourfendeur de nuages, je me suis rendu aux États-Unis sur les traces de John Brown pendant l’été 2007. Puritain blanc de Boston, John Brown (1800-1859) est un personnage célèbre de l’Histoire américaine du xixe siècle par son combat contre l’esclavage. Pour ce combat, … Continuer la lecture de À Propos de John Brown’s Body →
L’homme à abattre, par de Cenival Marie
Rue des Pyrénées, Paris, avril 2007. Sur notre passage, les insultes sexistes pleuvent : « Salope ! T’es une salope, comme ta candidate! », « Sale pute! », « Cette conne ? » La violence est incroyable. Les mots qui font le plus mal sont ceux que des femmes nous murmurent, sans songer à mal … Continuer la lecture de L’homme à abattre →
Lettre à un jeune occupier, par Mukherjee Romi
Cher(e) Occupier, Depuis longtemps, j’ai envie de t’écrire, mais j’ai voulu attendre de voir comment les choses se développent. Tout d’abord, je me présente. Fils d’immigrés qui ont réalisé le rêve américain, ceci est une lettre de démission de ce rêveTu as joué le jeu : « si on travaille dur, si on fait nos … Continuer la lecture de Lettre à un jeune occupier →
Fendre le possible, par Action30
Les expériences du collectif Action30 C’est dans le contexte problématique décrit par le texte de Pierangelo Di Vittorio dans ce même dossier, à cheval entre une interrogation politique et une interrogation technique, qu’est né dans le courant des années 2000 le collectif Action30. Il s’agit d’un groupe de graphistes, photographes, dessinateurs, vidéastes, musiciens, chercheurs, journalistes … Continuer la lecture de Fendre le possible →
TumulTueuses, furieuses, tordues, trans, teuff féministes aujourd’hui Entretiens, par Molinier Pascale
Red Light district et porno durable !, par Bourcier Marie-Hélène
The Porn wars is over 1981 La canadienne Bonnie Sherr Klein, qui n’est autre que la mère de l’auteur Naomi Klein sort Not A Love Story, un film féministe anti-porno. Le documentaire joue sur trois niveaux. Le niveau documentaire classique consiste en un mix d’interviews de figures féministes anti-porno dont Kate Millet et Susan Griffin, … Continuer la lecture de Red Light district et porno durable ! →
La Coupe du monde est bleue comme l’anarchie, par Neyrat Frédéric
Il serait certes tentant d’affirmer que le football représente aujourd’hui ce qu’il y a de pire dans nos sociétés : usages de drogues légales, narcissismes qui tournent à vide, argent facile, ersatz de nationalisme, carburant de violences urbaines et autres formes de racismes, etc. Ce diagnostic explique pourquoi tous nos dirigeants politiques, d’Europe Ecologie à … Continuer la lecture de La Coupe du monde est bleue comme l’anarchie →